Chapelle du saint Sépulcre ancienne saint Claude

Vous pouvez facilement repérer cette chapelle sur la vue en plan de la Cathédrale que vous trouverez ci-dessous, en effet, son emprise au sol est colorée en rouge.

Sources Emmanuel WALLET

( référence 1 )
Ce sépulcre se compose d'une grande niche, ornée de ligures de pierre peinte et de grandeur naturelle, représentant Jésus mis au tomheau par Nicodème et Joseph d'Arimathie. A chacun des deux cotés est une porte ouvrant sur un petit local , dont la voûte conserve encore des clefs de sculpture gothique d'une délicatesse extraordinaire. L'inspection des lieux nous a persuadé gue ces ligures, à l'imitation du sépulcre de Jérusalem, avaient jadis la face tournée vers l'intérieur de ce local où l'on y entrait par l'une de ces portes pour en sortir par l'autre, ainsi que cela se pratiquait encore, avant la révolution, à l'église de Saint-Sépulcre de Saint-Omer, et en diverses autres villes. Ce changement de face eut lieu en 1626, époque désignée par le chronographe de l'arcade moderne, que fit élever Adrien Dehennin, et dont voici le texte : "Hic lacrymâs, gemitusc tuos christicola funde : ECCE SUB EXIGUO MARMORE VITA JACBT"
( référence 2 )
Nos recherches nous ont appris que Michel Weyns, décédé le 1er Septembre 1638, et inhumé dans cette chapelle, l'avait fait clore d'une haute balustrade de marbre. Cependant le chronographe, que l'on trouve sur cette fermeture, nous donne pour date 1626, et pour fondateur Adrien Dehennin, enterré devant cette chapelle vers 1640. On y lit en effet :
Plo IesV et sancto adriano ADrianVs Dehennin VIVens PONEBAT.
Il est à présumer que par cette inscription on a voulu désigner uniquement le sépulcre que, suivant le premier chronographe, Dehennin dicavit et instauravit : ce qui dès lors n'a rien de contraire au fait préatablement cité.
( référence 3 )
C'est-à-dire de Gueules au croissant d'or, surmonté d'une pomme de pin de même. Au centre de cette voûte sont les armes de la maison de Bourgogne, ornées du collier de la toison d'or. On pourrait croire qu'elles représentent celles de Jean de Bourgogne, prévôt de cette église de 1480 , et à 1499, et fils naturel de Jean de Bourgogne, comte de Nevers mais, comme elles ne paraissent aucunement brisées en signe de bâtardise, il est plus probable que ce sont celles du souverain, savoir : de Philippe-le-Bon ou de Charles le Téméraire et qu'elles y ont été placées antérieurement au prévot Jean car sous Maximilien d'Autriche les armes du souverain ne sont plus les mêmes.

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Rémy CORDONNIER
Nous précise ceci :
En fait ce sont bien les armes du Téméraire car Simon Godefroy a longtemps été son chapelain avant de devenir prévôt de SAint-Omer (les armes de Bourgogne sont néanmoins fortement altérées ou ont été repeintes avec des erreurs de couleurs notamment le bandé du parti en 2 et 3 qui est censé être d’or et d’azur et non d’or et de gueules, à moins que la qualité de la peinture ait fait qu'elle a passé) : Simon Godefridi ou Godefroy, était chanoine de Béthune et fut fort longtemps aumônier du duc de Bourgogne. En vertu de la permutation qu’il fit avec son successeur et des lettres apostoliques qu’il avait obtenues, fut reçu doyen le 4 septembre 1475. L’année d’avant, il avait été fait chanoine d’une prébende de Sainte-Marie. Ce doyen a fait bâtir la chapelle de Saint-Claude où il a fondé un office double de ce saint et quatre messes par semaine. Il a résilié son doyenné en Cour de Rome à son successeur, et a permuté la prébende Sainte-Marie pour un canonicat des quatorze de Saint-Pierre à Aire, par acte de l’an 1494. Il est mort le 2 juin 1499. Il fut inhumé dans la chapelle de Saint-Claude qu’il avait fondée.

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Son Histoire

Voila la description qu'en fait Emmanuel WALLET ( professeur de dessin à l'ecole d'artillerie et à l'école de peinture de la ville de Douai, ancien officier du génie militaire, membre de la Société des antiquaires de la Morinie ) dans son ouvrage daté de 1839 "Description de l'ancienne Cathédrale de Saint-Omer"

Chapelle de Saint Claude, érigée par le doyen Simon Godefroy, mort en juin 1490, et qui plus tard prit aussi la désignation de chapelle du Saint Sépulcre, à raison du tombeau de Notre Seigneur, qui s'y trouvait placé au sud ( 1 ). Elle est également close d'une haute fermeture de marbres variés, et non moins remarquable que les précédentes ( 2 ). Quant à sa voûte, elle est aussi divisée en plusieurs compartiments avec cinq clefs, dont quatre portent les armes de Godefroy ( 3 ).


L'abbé Augustin Dusautoir dans son ouvrage de 1903 intitulé "Guide pratique du visiteur" nous apporte les précisions suivantes :
Chapelle érigée en l'honneur de Saint Claude, par le chanoine Simon Godefroy mort en 1499, s'appela ensuite chapelle du Saint Sépulcre, à cause de la scène "LA MISE AU TOMBEAU" qu'il y fit construire. C'est au chanoine Michel Weyns décédé en 1636, que l'on doit la jolie clôture de marbre et d'albâtre et ornée de deux petits médaillons "l'Ecce Homo" et "la Flagellation", L'inscription latine rappelle les libéralités du chanoine Adrien Dehennin et se rapporte non à la clôture, mais au sépulcre restauré et retourné du coté de la chapelle. Le sépulcre, que vous apercevez dans le fond date de 1499 ( mort de Simon Godefroy qui fit placer la pierre au tombeau ), il est composé d'une grande arcade creusée dans le mur où l'on voit les figures en pierre peinte, du Christ étendu, de Marie, Jean et Madeleine, de Nicodème et de Joseph d'Arimathie, qui ensevelirent le Sauveur au soir du Vendredi Saint. · Aux extrémités, deux petites portes ouvrent sur un couloir qui servait au XVIII ème siècle à renfermer les objets précieux appartenant au Chapitre. La voute de ce couloir conserve encore au XX ème siècle des clefs de sculpture gothique d'une grande délicatesse aux armes de Simon Godefroy. Primitivement les personnages avaient la face tournée vers le couloir intérieur, et à l'église paroissiale du Saint-Sépulcre il existait encore en 1860 un tombeau du même genre et disposé de la même façon. L'autel moderne, en gothique, est surmonté de trois statues, dons de la piété des fidèles, la Mère des Douleurs, Saint François d'Assise et Sainte Thérèse. Ces statues sont en terre cuite décorée. Au-dessus du confessionnal, qui est lui-même très remarquable par ses figures sculptées des grands pénitents, David, Saint Pierre, Madeleine et l'enfant prodigue, on voit le tableau des "ÉPREUVES DE JOB". C'est l'une des meilleures toiles de Crayer. A l'extérieur et de chaque côté de la clôture deux bas-reliefs d'albâtre du XVI ème siècle très finement travaillés reproduisent les scènes du Calvaire et de la descente de Croix.


Rémy CORDONNIER
Docteur en histoire de l'art - Chevalier de l'Ordre des arts et des lettres
Responsable du fonds ancien de la Bibliothèque d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Chercheur associé de l'Institut de Recherche Historiques du Septentrion (Lille III - CNRS)
Chercheur associé de l'Institut d’Études Médiévales (Université Nouvelle de Lisbonne).

Nous précise la description d'Emmanuel WALLET concernant les voutes (référence 3) :
En fait ce sont bien les armes du Téméraire car Simon Godefroy a longtemps été son chapelain avant de devenir prévôt de SAint-Omer (les armes de Bourgogne sont néanmoins fortement altérées ou ont été repeintes avec des erreurs de couleurs notamment le bandé du parti en 2 et 3 qui est censé être d’or et d’azur et non d’or et de gueules, à moins que la qualité de la peinture ait fait qu'elle a passé) : Simon Godefridi ou Godefroy, était chanoine de Béthune et fut fort longtemps aumônier du duc de Bourgogne. En vertu de la permutation qu’il fit avec son successeur et des lettres apostoliques qu’il avait obtenues, fut reçu doyen le 4 septembre 1475. L’année d’avant, il avait été fait chanoine d’une prébende de Sainte-Marie. Ce doyen a fait bâtir la chapelle de Saint-Claude où il a fondé un office double de ce saint et quatre messes par semaine. Il a résilié son doyenné en Cour de Rome à son successeur, et a permuté la prébende Sainte-Marie pour un canonicat des quatorze de Saint-Pierre à Aire, par acte de l’an 1494. Il est mort le 2 juin 1499. Il fut inhumé dans la chapelle de Saint-Claude qu’il avait fondée.


Aujourd'hui cette chapelle est dédièe au Saint Sépulcre.



La Cathédrale Notre-Dame de Saint-Omer hérita des chapelles de la Cathédrale de Thérouanne.

Avant sa destruction, Thérouanne possédait, « la plus vaste, la plus haute et la plus belle cathédrale de la région du Nord » (Bled, 1895, p. 3). Aucun des lieux de culte n’échappa au sac de la ville. Charles Quint reconnut cependant que le pillage des objets du culte n’était pas conforme aux usages « de bonne et ancienne guerre » et exigea que quiconque possédait « corps saints, reliquiaires, vaisseaulx d’or ou d’argent, calices, croix, tapisseries, livres, registres, letraiges, cartulaires, comptes ou autres meubles… » les ramena aux chanoines réfugiés à Saint-Omer, qu’ils aient été pris à l’occasion du sac ou rachetés aux soldats ( Archives de la ville de Lille, citée par La Fons, 1861 ). Pour autant, les ordres de Charles Quint étaient sans ambiguïtés : « On ne détruira pas seulement les édifices profanes mais encore les églises, les monastères et les hôpitaux » (Legrand, 1857-1861, page 782), ce qui fut fait. L’empereur souhaitait supprimer définitivement une enclave française sur ses terres, mais aussi démanteler un puissant diocèse, dont l’évêque nommé par le roi de France disposait d’une juridiction spirituelle qui s’étendait de part et d’autre de la frontière.
C'est ainsi que :

la chapelle sainte Catherine de Thérouanne fut transférée dans la Collégiale de Saint-Omer dans la chapelle que nous connaissons aujourd'hui sous le vocable "Chapelle du saint Sépulcre ancienne saint Claude".
❖ la chapelle saint Jacques de Thérouanne fut transférée dans la Collégiale de Saint-Omer dans la chapelle que nous connaissons aujourd'hui sous le vocable "Chapelle de saint Erkembode ancienne saint Jacques Apôtre".
❖ la chapelle de la portion du saint Esprit de Thérouanne fut transférée dans la Collégiale de Saint-Omer dans la chapelle que nous connaissons aujourd'hui sous le vocable "Chapelle du Sacré Coeur ancienne saint Esprit".
❖ la chapelle de saint Gondolphe de Thérouanne fut transférée dans un premier temps, dans la Collégiale de Saint-Omer dans la chapelle que nous connaissons aujourd'hui sous le vocable "Chapelle de l'Assomption sainte Aldegonde ancienne Notre Dame de Montreuil", puis, dans un second temps, retransférée dans la "Chapelle sainte Aldegonde ancienne saint Denis".
la chapelle de la portion du petit crucifix de Thérouanne fut transférée dans la Collégiale de Saint-Omer dans la chapelle que nous connaissons aujourd'hui sous le vocable "Chapelle de saint Erkembode ancienne saint Jacques Apôtre".
❖ la chapelle de la Trinité de Thérouanne fut transférée dans la Collégiale de Saint-Omer dans la chapelle que nous connaissons aujourd'hui sous le vocable "Chapelle de sainte Aldegonde ancienne saint Denis".
❖ la chapelle de la portion de saint Mathieu de Thérouanne fut transférée dans la Collégiale de Saint-Omer dans la chapelle que nous connaissons aujourd'hui sous le vocable "Chapelle saint Antoine de Padoue ancienne grand saint André".




Cathédrale de Saint-Omer - Chapelle Saint Claude


Cathédrale de Saint-Omer - Chapelle avancée saint-martin


Descriptions du mobilier ci-dessous par Anne Pierard

Erigée au XV ème siècle, grâce au Chanoine Simon Godefroy, mort en 1499. La voûte porte les armes de Godefroy » : gueules au croissant d’or surmonté d’une pomme de pin. Au centre, les armes de la maison de Bourgogne et le collier de la Toison d’Or. » Wallet
- Clôture de marbre et d’albâtre
Un chronogramme nous apprend qu’elle a été édifiée par Adrien de Hennin en 1626. On y voit la statue d’un évêque. De chaque côté, Ecce Homo et Flagellation. Au-dessous de la verrière, une course de feuillages, un chasseur descendu de cheval, vise un chevreuil. Il y a aussi un chien et un sanglier. La devise du chanoine : « Penser y convient ».
- Mise au tombeau de 1491
Fut installée du vivant du Chanoine Simon Godefroy, chapelain de Jean sans Peur et de Philippe le Bon et à son initiative. C’est une des rares mises au tombeau dans le Nord et la Picardie, antérieure au XV. Iconographie nouvelle à la suite des pèlerinages en Terre Sainte et des calamités du XIV. Calcaire tendre du Boulonnais, peinture à la détrempe et surpeint du XIX ème siècle. Sous un arc en accolade surbaissé dans un enfeu, avec voute à croisée d’ogives, qui rappelle la grotte sépulcrale, on voit les personnages à mi-corps : Marie en pleurs, saint Jean bouleversé, Marie-Madeleine, qui se reconnait à ses vêtements raffinés, ses bijoux et à son pot à onguent, et l’autre Marie apportent des parfums ; Joseph d’Arimathie qui est un notable juif, membre du Sanhédrin et converti en secret et dont l’attribut est la bourse, se trouve traditionnellement à la tête de Jésus. Nicodème est un Docteur de la loi, traditionnellement aux pieds de Jésus. Intensité des expressions du visage. Les expressions des personnages féminins sont mieux réussies. Le corps de Jésus est une représentation médiévale : pas de précision anatomique. C’est une production locale ; pathétisme contenu, visages durs. Ils sont vêtus de vêtements contemporains.
- A l’intérieur de l’enfeu
Deux petites frises sculptées et peintes représentant les instruments de la Passion. A droite, le voile de Véronique et les deniers. Le mur date de 1626, date désignée par le chronographe de l’arcade moderne. Hypothèse de Wallet : auparavant, les pèlerins pouvaient contourner le tombeau par un petit couloir finement sculpté qui s’ouvre de chaque côté par une porte et les figures étaient tournées du côté du couloir. Dans une chapelle basse jouxtant l’église du Saint-Sépulcre, se trouvait un tombeau disposé ainsi. Elle avait été édifiée par Nicole de Wissoq et son épouse Jacquemine de Sainte-Aldegonde, au retour d’un pèlerinage. Autre hypothèse de Gil et Nys : la niche ouvrait sur un espace plus large, éclairée par une petite fenêtre. Pour eux, cet espace était trop petit pour un pèlerinage. Ils envisagent plutôt qu’on y aménageait un décor lors de grandes fêtes comme la Semaine Sainte, par exemple des draps aux couleurs liturgiques. Ce changement a entraîné la disparition d’une sainte femme. Traditionnellement 8 personnages. Dans le couloir, on voit les armes et la devise de Simon Godefroy : « Penser y convient ». Le couloir servait au XVIII ème siècle à renfermer les objets précieux du chapitre. Les mises au tombeau sont typiques du XIV ème siècle et XV ème siècle : siècles de pestes, d’épidémies, de guerres. Le Christ souffrant comprend la souffrance.
- A droite de l’autel dans une jolie piscine flamboyante
Madone sur le lys (1450 – 1460) qui était autrefois près du vitrail. Drapé typique du gothique international : surfaces fluides et verticales cylindriques qui se terminent par des bordures en zigzags, motif caractéristique du gothique tardif. Jeu de couleurs entre les vêtements de dessus et de dessous. Tête de Marie au front bombé, expression mi-douce mi-pensive. Probablement du même sculpteur que le retable de sainte Barbe. (Gil et Nys p. 339).
- Au-dessus de l’autel : statues en terre cuite décorée
Statues en terre cuite décorée de Marie, Mère des douleurs, de saint François d’Assise et de sainte Thérèse.
- Une frise sur le mur
cheval, lièvre, chasseur avec un mousquet, chouette.
- Le confessionnal
Ouvrage du XVII ème siècle, appartenait au Couvent des Dominicains. Saint-Omer était « la ville aux 32 clochers ». Ce meuble existe depuis le XV ème siècle, Concile de Trente, qui remet à l’honneur les sacrements de l’Eucharistie et de la Pénitence. Il assure la discrétion. On a des Cariatides : David, Marie-Madeleine, l’Enfant Prodigue. Au fronton, le Bon Pasteur.
- Tableau de Gaspard de Crayer, Job sur son fumier
Gaspard de Crayer, (1584 -1669), peintre de la cour des archiducs Albert et Isabelle, souverains des Pays-Bas espagnols. Il a peint des portraits, des retables et des tableaux d’histoire. Crayer s’est inspiré d’une composition perdue, sur ce thème, de Rubens, dont il était l’ami. Un autre tableau de lui sur le même thème au Musée de Toulouse. Peint en 1625 et placé dans la cathédrale en 1635. Le tableau a été commandé par la Confrérie de saint Job. Il a été restauré en 1960 par Robert Baudouin et en 2014 par Madame Wallaert. Job, riche et puissant, est mis à l’épreuve par Satan : à l’arrière-plan, on voit la maison touchée par la foudre dans laquelle périssent ses 7 fils et ses 3 filles. Ses moutons meurent et ses bœufs sont tués. Confronté à ces malheurs, continuera-t-il à croire ? Représentation classique de Job, rongé par les ulcères, sur le fumier.
Sa femme en rouge, très virulente, vitupère : « Maudis Dieu et meurs ! » Job répond : «Tu parles comme une folle. » Les personnages contrastés font que la scène est vivante. A la fin du livre de Job, celui-ci retrouve sa richesse. Avec sa deuxième femme, il a aussi 7 fils et 3 filles. Dieu fera comprendre à Job qu’il ne faut pas juger avec des vues d’homme. Question du problème du mal, qui n’a pas de réponse. Le tableau est peint pendant la Guerre de Trente ans où le pays souffrait beaucoup. Au premier plan, les administrateurs de la Confrérie de Job, confrérie contre la peste, qui a offert le tableau. Le doyen de la confrérie offre à son saint patron un cierge ; les pièces d’argent sont les dons de membres de la confrérie. A côté de lui, le chanoine qui dirige la confrérie. Un ecclésiastique à droite, tient la statue de Job.

Posé sur le confessionnal le Drapeau du Royal Air Force XVI Squadron (No 2). Drapeau réalisé en hommage d'un régiment de la Première Guerre Mondiale, engagé ensuite sur d'autres théâtres d'opérations, le 16e Escadron Royal Air Force. Satin brodé de chardons (Ecosse), trèfles à 4 feuilles (Irlande), poireaux (Pays-de-Galles) et roses (Angleterre) ; les fleurs symboles du Royaume-Uni. Noms des campagnes et villes. Hauteur = 80cm Largeur = 124cm Hauteur totale avec la hampe 280cm. L’escadron dissous, doit laisser son drapeau dans un édifice religieux. La RAF est née sur l’aérodrome des Bruyères pendant la première guerre mondiale. Sur le drapeau, deux clés = ouvrir les secrets ennemis de jour = blanc, comme de nuit = noir.

Chapelle Saint Claude
Chapelle Saint Claude
Cathédrale de Saint-Omer Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude
Cathédrale de Saint-Omer Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude
Cathédrale de Saint-Omer Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude
Cathédrale de Saint-Omer - Chapelle Saint Claude
Cathédrale de Saint-Omer - Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude
Cathédrale de Saint-Omer - Chapelle Saint Claude
Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude
Cathédrale de Saint-Omer  -  Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude  -  vitrail
Cathédrale de Saint-Omer  -  Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude  -  vitrail
Cathédrale de Saint-Omer  -  Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude  -  vitrail

Cathédrale de Saint-Omer - Chapelle saint Sépulcre ancienne saint Claude clés de voutes

Photographe

Montage & Photographies Les Amis de la Cathédrale

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